A propos de nous

L'association E.M.A est née de l'idée d'un jeune libanais arrivé en France peu avant la fin de la guerre. Très sensibilisé aux conséquences de cette guerre et particulièrement au sort des enfants, il a souhaité mettre en place cette association.

Avec 50 jeunes français, il est parti pour quinze jours au Liban au cours de l'été 2003 afin de leur faire découvrir ce pays, ses richesses, mais aussi lors de rencontres avec de nombreuses personnalités libanaises, les immenses besoins sociaux qui touchent en particulier les pauvres et notamment ceux des communautés chrétiennes.

Interpellés par la phrase prononcée par le Pape Jean Paul II : « Le Liban est un message… de pluralisme religieux et culturel.. », message d'ouverture aux autres religions et de solidarité, nous avons décidé de concrétiser ensemble son projet.

Nous sommes actuellement une vingtaine à être engagés dans l'association et à œuvrer en prévision du camp de cet été.

E comme ENTRAIDE

Soutenir la francophonie et la scolarisation d'enfants défavorisés au Liban qui dans un pays qui n'arrive pas à se relever de la guerre seront les forces vives de demain.

M comme MISSION

Nous engager avec ceux qui veulent accompagner la scolarité d'enfants défavorisés du Liban et concrétiser activement cet engagement en entreprenant des projets.

A comme AMITIE

En vivant dans un esprit d'amitié entre les membres engagés avant d'aller apporter une aide au delà des frontières, parce que l'action d'E.M.A commence en France.

Sans un soutien spirituel, l'engagement de tous les membres actifs de l'association serait sans fondement en raison de la Foi chrétienne qui les anime. C'est pourquoi accompagnés par la communauté des moines bénédictins de Solesmes, nous avons choisi comme patron pour notre association :

Saint Dominique Savio Le jeune Dominique Savio est né le 2 avril 1842 et est mort le 9 mars 1857. En quinze années de vie, cet adolescent, qui fut élève chez Don Bosco à l'Oratoire du Valdocco, réussit à devenir saint. En lui donnant ce titre, le 12 juin 1954, le pape Pie XII reconnaissait qu'un jeune pouvait être proclamé saint par l'Église, sans avoir connu ni le martyre, ni la souffrance de la persécution, mais en ayant vécu la vie simple d'un jeune élève, porté par le désir de réussir sa vie.